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La Compagnie des Indes orientales est une compagnie qui a le monopole du commerce avec les Indes orientales. Elle a reçue une charte royale par la Reine Elisabeth I le 31 décembre 1600, lui conférant pour 15 ans le monopole du commerce avec les Indes orientales. Mais en 1609, la charte de la Compagnie est renouvelée : elle se voit octroyer le monopole du commerce avec les Indes orientales pour une période indéfinie, mais incluant une clause stipulant qu'il cesserait si les affaires de la Compagnie devenaient non profitables trois années de suite. Avec la montée en puissance de son gouverneur, Lord Cutler Beckett, la Compagnie s’étend dans les Caraïbes en 1740.

Histoire[]

Fondation[]

La Compagnie des Indes est créée par un ensemble d'hommes d'affaires entreprenants et influents. Avec les voyages commerciaux parrainés par des marchands britanniques dans l'espoir de profiter du paprika, du coton, de la soie, de l'indigo, de l'ivoire, du salpêtre et du thé, la Compagnie a grandi en taille et en puissance. Elle se heurte néanmoins à la piraterie. Pour cela, la Couronne britannique fournit des navires, des soldats et des officiers de la Marine Royale Anglaise à la Compagnie. L'uniforme des officiers travaillant pour la Compagnie sera différente de celle des officiers de la Marine Royale. La Compagnie marque au fer rouge les pirates qu'elle capture avec un P.

La Compagnie est gérée à partir de son quartier général de Londres par un gouverneur et 24 directeurs qui forment la Cour des Directeurs, gérant les affaires administratives.

Dans les Caraïbes[]

La Compagnie des Indes se tourne vers les Caraïbes, en raison de ses riches plantations. Cette expansion est dirigée par son gouverneur, Lord Cutler Beckett, installé à Port Royal, le siège de l'Empire britannique en Jamaïque dont il a pris le contrôle. Le commerce de la Compagnie grandi dans tous les Caraïbes, elle s’enrichie grâce aux frais et suppléments exorbitants qu'elle fait payer aux marchands qui se rendent dans des ports contrôlé par la Compagnie, une action qui équivaut à la piraterie légale, peut être même pire. Beckett veut s'emparer du cœur de Davy Jones, car quiconque possède ce cœur possède le pouvoir d'obliger Davy Jones (le capitaine immortel du redoutable navire, le Hollandais Volant) à faire tout ce qu'il ou elle souhaite. Beckett pourra alors éradiquer la piraterie pour s'emparer des sept mers. Pour que Beckett assure la sécurité d'Elizabeth Swann, son père, Weatherby Swann, met son autorité de gouverneur, son influence à Londres et sa loyauté au service de Beckett. James Norrington rapporte le cœur de Davy Jones à Beckett, dans l’espoir de regagner sa vie de commodore. Mais Beckett offre un nouveau poste à Norrington, celui d’amiral. Maintenant que Beckett possède le coeur de Davy Jones, il ordonne à Jones de tuer le Kraken qu'il voit comme une menace.

Extermination des pirates[]

Lord Beckett change l'uniforme de ses soldats. Il est dûment nommé représentant officiel du Roi George II et déclare la loi martiale. Beckett entame la guerre contre la piraterie sur les sept mers, supervisant sa guerre à bord de son navire amiral, le HMS Endeavour. Le Hollandais Volant attaque et coule tous les navires pirates qu'il croise sans laisser de survivants. Le gouverneur Swann est toujours le captif de Beckett qui continue d’exercer sa pression sur lui, puisqu’il a besoin de sa signature sur des ordres de réquisitions (pour agrandir l'armada de la Compagnie) et d’exécutions.

Quand la flotte du Tribunal de la Confrérie se réunit pour combattre, l’armada arrive au large des côtes de l’île des Naufragés. Dans la bataille, elle perd son meilleur vaisseau, le Hollandais Volant, puis le HMS Endeavour, Beckett ayant péri dans la destruction de ce dernier. L’armada préfère fuir.

Marque et Symbole[]

La Compagnie des Indes orientales utilise une marque déposée connue qui est déposée et peinte sur toutes les marchandises chargées à bord des navires. Le symbole est une croix de trois branches, chacune séparant les initiales de la Compagnie (EICo pour "East India Company"), qui figure également sur les pavillons des navires de la Compagnie, qu’ils soient marchands ou militaires. Il s’agit aussi bien d’une garantie de la qualité que d’une menace pour éloigner les pirates. Le commerce de la Compagnie va loin, puisqu’il se répend jusque sur les îles cannibales, comme chez les Pelegostos.

La Compagnie a aussi son blason : décoré d’or sur du bordeaux, avec des fanions ondulants et des lions de mer, portants un bouclier de navires et de roses. La devise latine de la société est « Deo Ducente Nil Nocet » ("Rien ne peut nous faire de mal quand Dieu nous mène") et symbolise sa grande portée et ses hauts objectifs.

Employés connus[]

Anecdotes[]

  • La compagnie anglaise des Indes orientales a vraiment existée. Mais sa devise était « Auspicio Regis et Senatus Angliae », pouvant se traduire par « Par le pouvoir du Roi et le Parlement de l'Angleterre  »
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